Deux grands « modèles » ou postures type de dirigeant ont dominé les vingt dernières années :
- le modélisateur dont la puissance intellectuelle se heurte désormais à une complexité non maitrisable (« L‘expert ne peut plus sauver le monde ») ;
- le politique ou pragmatique dont la capacité à jouer avec les forces existantes permet de d’atteindre une efficacité qui ne peut plus aujourd’hui suffire à la demande de sens d’un projet (« Où est la vision ? »).
Le contexte d’aujourd’hui fortement désorientant – l’incertitude a laissé place à l’inconnu – appelle la montée en puissance d’une troisième figure :
- celle de l’inspirateur dont la présence incarnée (dynamique et proximité) permet d’animer un collectif en l’autorisant à devenir plus créatif et autonome.
Tout l’enjeu est dés lors de s’entrainer à créer les conditions pour autoriser cette créativité collective :
N’est-il pas temps de lancer ces nouveaux espaces d’exploration du possible dans l’entreprise ?
Pour aller plus loin, lire la réflexion de Ghyslaine VILLAIN (L’Oréal).