Le droit à l’erreur – me dites-vous souvent – n’existe pas dans votre entreprise…
Et vous, comment vous traitez vous, comment réagissez-vous quand vous commettez une erreur, quand vous échouez sur un projet ?
Etes-vous impitoyable et vous reprochez-vous durement vos échecs ?
Ou êtes-vous plus attentif aux efforts que vous avez déployés ?
Aux leçons que vous pouvez retirer de cet échec ? A ce qui peut être amélioré ?
Car c’est bien là que tout commence : avec soi-même.
La manière dont vous, dirigeant, allez réagir aux échecs des uns et des autres va autoriser ou non la voie de l’expérimentation, de l’innovation. C’est bien vous – et nul autre – qui êtes le maitre du jeu, inspirant ou desséchant vos équipes…
Et votre attitude managériale dépend de la manière dont vous vivez l’échec et l’erreur, à titre personnel, en vous même.
Alors, êtes-vous prêt à travailler sur vos modèles de fonctionnement intérieurs ?