Les grandes entreprises mondialisées sont devenues des acteurs politiques majeurs, mais leur légitimité démocratique demeure incertaine.
Les firmes globales participent activement au façonnement de notre monde, tout en poursuivant l’intérêt de leurs actionnaires.
Leur puissance est désormais considérable et ces « royautés économiques » sont devenues des acteurs de la gouvernance mondiale, aux côtés des Etats. Elles participent pleinement à la définition des règles du jeu et au traitement des grands problèmes planétaires (climat, santé, eau, commerce…).

Est-il possible de remédier à leur déficit de légitimité citoyenne et de les réinsérer ainsi dans une gouvernance mondiale plus démocratique ?
Comment mettre en oeuvre une gouvernance plus participative pour développer l’agilité organisationnelle, accroitre l’engagement des salariés et renforcer le projet entrepreneurial?
Pour avoir une réponse à ces questions, lisez mon dernier ouvrage, Politique de la Très Grande Entreprise : leadership et démocratie planétaire ou le communiqué de presse des PUF !
Olivier Basso
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